Le Monde est justement chez vous, vous n'avez besoin qu'un ordinateur!!

Devenir la personne que tu as toujours revé d'etre!

Campus Henri Christophe

Noud vous montrons quel chemin prendre!.

Nous soutenons votre reussite

Suivez notre programme de tutorat.

Vous n'etes pas seul

Une etudiante en Medcine.

RIEN QUE POUR VOUS !!!

vendredi 12 mai 2017

Comment s'orienter vers une profession?




Orientation Professionnelle pour les élèves en classe terminale Comme je le dis souvent devenir un professionnel qualifié est plus qu’un simple choix, c’est une nécessité. Ceci s’avère vrai dans l’implication du choix d’un métier pour sa vie. Ce choix dont je vous parle ne devrait pas être fait maintenant mais devrait être une préparation.

Malheureusement, nous sommes nombreux à grandir avec le mythe de devenir quelqu’un plus grand que soit ou plus petit que soit et cela détruit la personne que nous sommes et que nous devrons être réellement. Mais, il n’est jamais trop tard, Student’s World vous offre la chance, vous qui êtes en classe terminale de planifier votre avenir grâce  à ce programme d’orientation professionnelle. 

Afin que vous puissiez nous suivre notre démarche, nous procéderons comme suit : Premièrement, nous présenterons et définirons ce que veut dire s’orienter, deuxièmement, nous verrons le terme profession et troisièmement nous présenterons les différents type de profession que vous pouvez choisir et aussi ce qui sera compatible a votre état d’esprit. En géographie, comme au sens littéral, s’orienter désigne ou matérialise la direction de l'orient (lever du soleil à l'équinoxe) et des points cardinaux (nord de la boussole). 

Mais au sens du choix, on dit souvent s’orienter vers quelque chose. Cependant, il est nécessaire de savoir que dans n’importe quel champ sémantique, le mot s’orienter renverra toujours à l’image d’une boussole, d’une préparation et d’une voie à suivre. 

 En ce sens, nous comptons l’appliquer dans un contexte de choix d’une profession pour l’avenir. Qu’en est-il de profession ? La profession, du latin profession (« déclaration, déclaration publique, action de se donner comme ») est le métier exercé par une personne. Soit une activité manuelle ou intellectuelle procurant un salaire, une rémunération, des revenus à celui qui l'exerce. IL constitue également un rôle social. 

Mais maintenant, comment s’orienter vers une profession? Toutes personnes Peuvent-elles exercer toute profession ? Comment faire ce choix ? Pour choisir un métier je juge bon que vous suiviez toutes ces étapes :
1. Apprendre au mois le minimum sur toutes les disciplines existantes et qui sont votre portée.

2. Trouver dans chacune d’entre elle, les avantages et les inconvénients.

3. Rechercher ou parler avec des gens qui ont réussi dans chacun d’entre eux, et questionner les.

4. Prendre un moment de recul (pendant une semaine de méditation)

 5. Découvrir d’entre elles celle que tu aimes et que tu te sens capable de faire.

6. Imagine toi comme étudiant d’abord non pas comme professionnel accomplit.

7. Au moins, essayer de faire trois choix qui ne sont pas extrêmement parallèle.

8. Analyser vos capacités de financement ou celles de vos parents. 9. Analyser le marché du travail.

10. Effectuer votre choix. 

NB) Choisissez toujours ce que vous aimé, ce que vous pouvez faire, ce qui te se serra rentable demain.
 Toutes personnes peuvent-elles devenir toutes professionnelles ? 

J’en doute fort. Certaine discipline demande un niveau de QI assez élevé et d’autre pas dutout. Or chacun de nous a un niveau d’intelligence propre nous-mêmes. Donc, nous ne sommes pas tous a pouvoir faire tout métier. Pour savoir, ce qui marchera avec votre nature ou votre capacité, mediter sur vous meme et essayer de passer quelques tests d'aptitudes.



jeudi 11 mai 2017

Nous n'utilisons que 10% de notre cerveau - documentaire science en fran...

 Organe très complexe, notre cerveau est loin d'avoir dévoilé tous ses mystères. A tel point que depuis des décennies, certains pensent que l'homme n'utiliserait qu'un petit pourcentage de son cerveau.
Une légende urbaine qui a la vie dure. C'est une croyance commune : notre cerveau a beau être notre organe le plus complexe, nous ne l'utiliserions pas entièrement. En effet, depuis des décennies, une théorie affirme que seul 10% de notre cerveau serait utilisé.

Les 90% restants seraient alors une partie dormante qui ne nous servirait pas au quotidien. Certains vont même plus loin en suggérant que cette réserve inexploitée, si elle était développée, pourrait permettre d'avoir des habiletés paranormales comme la télépathie. Toutefois, tout ceci n'est qu'un mythe.

Tout le monde utilise la totalité de son cerveau. Cet organe pompe d'ailleurs une bonne partie de notre énergie. En terme de masse, notre cerveau (1,5 kg) représente 2% de notre corps, ce qui fait de lui l'un des plus gros en terme de proportions. A titre de comparaison, la baleine bleue peut dépasser les 170 tonnes mais son cerveau lui ne pèse "que" 9 kg. D'après les estimations, notre organe consommerait environ 20% de l'énergie produite chaque jour à l'âge adulte. Un chiffre qui atteint les 50% chez les enfants et 60% chez les bébés. Chez les rongeurs ou les chiens, le cerveau n'utilise que 5% de l'énergie totale, explique le neurologue Richard Cytowic dans une vidéo destinée au TED-Ed, un site web éducatif. Cette énergie est utilisée pour faire fonctionner toutes les cellules présentes dans le cerveau, notamment les neurones.

Or, chez les humains, les neurones sont au nombre de 90 milliards ! Pour les scientifiques, cet argument est une première preuve de l'utilisation intense du cerveau. Des régions cérébrales bien utilisées Si 90% de l'organe n'était pas utilisé, il serait très étonnant qu'il pompe autant d'énergie si précieuse au fonctionnement des autres organes. Ceci aurait constitué une perte importante à laquelle l'évolution aurait remédié en faisant diminuer la taille du cerveau.

Avec un organe plus petit, davantage d'énergie aurait été disponible, ce qui aurait constitué selon les scientifiques, un avantage évolutif. Par ailleurs, l'observation de notre encéphale a confirmé son utilisation globale. En effet, les technologies modernes d'imagerie cérébrale ont facilement montré l'activation de diverses aires cérébrales. Toutes ne jouent pas un rôle majeur. Mais toutes sont d'une façon ou d'une autre impliquées dans la réalisation de capacités essentielles. Ainsi, certaines régions que l'on croyait silencieuses servent en réalité de soutien à d'autres.

Ajouté à cela, quelle que soit sa localisation dans le cerveau, toute lésion peut avoir de graves conséquences sur les capacités physiques comme intellectuelles. D'après les scientifiques, ce ne serait pas le cas si nous n'utilisions pas la majorité de notre cerveau. Néanmoins, tout notre cerveau n'est pas actif tout le temps.

Un cerveau partiellement actif En observant son fonctionnement, les spécialistes ont constaté qu'il existait une forme d'activation partielle. Autrement dit, à un moment donné, ce ne sont qu'une partie des neurones qui sont activés pour transmettre les signaux.

Et certaines régions sont ainsi plus actives que d'autres. Ceci permet un fonctionnement optimal tout en minimisant la dépense d'énergie, explique le Dr Cytowic. Ce dernier affirme qu'au vu de l'énergie disponible, notre cerveau ne peut activer qu'entre 1 et 16% des neurones à un moment donné et dans une région donnée. Ceci expliquerait pourquoi il nous est en vérité difficile d'être réellement multitâches et pourquoi notre cerveau opérerait de nombreuses opérations inconsciemment. Loin d'être utilisé à 10%, notre organe serait donc plutôt très occupé.

Mais alors d'où vient le mythe des 10% ? Son origine est floue mais il pourrait tout simplement provenir de découvertes scientifiques qui ont été déformées, créant la rumeur qui a ensuite perduré. On peut d'ailleurs retrouver cette légende dans certains livres ou films de science-fiction.  Publié par Émeline Ferard, le 05 février 2014 Vous nous aimez déjà ?Ne plus afficher 


Et si vous étiez étudiant... au Moyen Âge?

RETRO ETUDIANT - C’était quoi être étudiant au Moyen Âge? Quelles étaient les filières les plus prestigieuses ? Pouvait-on faire grève ? Pourquoi la fac de médecine était-elle décriée? Et si on faisait un petit saut à l’université médiévale de Paris ...
Cocoricooooooo! Ce matin, ce n’est pas votre smartphone qui vous réveille. C’est un coq. Un coq! Il est là, à quelques mètres de votre couche, et il vous regarde fièrement. Vous commencez à paniquer. Votre dos vous gratte affreusement. Vous avez dormi sur de la paille. Vous allez hurler lorsqu’un jeune homme déguisé en Jacquouille la Fripouille vous lance: «Salve amicissimi! Quando vadis ad studium generale?»
Miraculeusement, vos souvenirs de classe de latin resurgissent et vous arrivez à traduire l’interrogative: «Bonjour cher ami, à quelle heure vas-tu à l’université?»
Halluciné, vous levez les yeux et tombez sur le calendrier julien. Vous êtes en l’an de grâce 1265!
Une grève pour l’amélioration des conditions de vie étudiante
Après avoir bu un lait de chèvre, vous suivez votre étrange ami qui vous emmène à l’université. Pour la première fois à Paris, vous respirez l’air de la campagne. Vous avancez à grands pas vers ce qui vous semble être devenu aujourd’hui le Collège de France. Là, une foule d’étudiants se masse devant une maison.
Sur une pancarte il est écrit: «les étudiants de la fac de droit sont en grève». Ahuri, vous demandez à votre ami si ce n’est pas une blague. Celui-ci vous répond avec aplomb: «Tu ne sais pas que depuis la bulle pontificale de Grégoire IX de 1231, les maîtres et les élèves ont le droit de cesser leurs activités en cas d’injustices? Là, les jeunes protestent car l’encadrement du prix des loyers pour les étudiants n’est pas respecté». En entendant cela, vous souriez. Déjà à cette époque, chercher un logement étudiant à Paris n’était pas une sinécure.
Jour de grève. Vous en profitez donc pour vous balader avec votre guide dans le quartier latin et autour de Notre-Dame. Vous avez mille questions à lui poser. Quelles sont les différentes facultés? D’où viennent les étudiants? Quels sont les diplômes? Le taux chômage chez les jeunes après les études est-il élevé?
Un peu étonné par cette inculture, votre accompagnateur se propose de vous faire un gros récapitulatif.
La faculté de médecine est la moins cotée de toutes
«Déjà, il faut savoir qu’il n’y a pas de lieu précis pour l’université. En fait, elle se situe un peu partout. On trouve des enseignements dans des établissements religieux, d’autres dans des salles louées ; parfois même on enseigne dans les sous-sols des tavernes.
A Paris, il y a quatre grandes facultés. La première est celle des arts libéraux. Tout le monde commence par là. On y entre à l’âge de 14-15 ans et on en sort à 21 ans. On y apprend la rhétorique, la linguistique, la grammaire, les mathématiques, l’astronomie ou encore la musique.
La deuxième faculté est celle de médecine. Entre nous, c’est la moins cotée de tous. Déjà, elle est interdite aux religieux car elle impose d’être en contact avec la chair et le sang. Et c’est une discipline qui peut devenir lucrative. Et ça à Paris, capitale de la réflexion théologique, c’est assez mal vu...
La faculté de droit a plus de prestige. Mais attention! Il ne s’agit que du droit de l’Église. Pour tous ceux qui veulent étudier le droit civil, il faut aller jusqu’à la fac de droit d’Orléans.
Jusqu’à 20 ans d’études pour avoir le droit d’enseigner
Et enfin, la plus renommée des facultés est celle de théologie. C’est là que je voudrais enseigner. Mais on ne peut devenir maître qu’à l’âge de 35 ans! Cela veut dire que pour quelqu’un qui commence son cursus à 15 ans, il en a pour vingt années d’études!
Pourquoi est-ce si long? C’est, entre autres, parce qu’il y a très peu de supports pour étudier. Peu de livres et pas de tablette bien sûr...La plupart du temps il faut tout mémoriser. Cela prend du temps de connaître la majeure partie de la Bible par cœur...
C’est au Moyen Âge que sont créés le Baccalauréat, la Licence, la Maîtrise et le Doctorat
Pour ce qui est des diplômes, il y a environ un demi-siècle, en 1179, le Concile de Latran III a mis en place la «licence d’enseigner». C’est un grade conféré par les évêques. Comme l’Église est présente partout en Occident, ce certificat garantit l’universalité du niveau de l’enseignement.
Mais il n’y a pas que la licence. Dans notre XIIIe siècle, la communauté universitaire met progressivement en place ses propres critères. C’est ainsi que l’ancêtre du baccalauréat (avant la licence) a été instauré, et que la maîtrise ou le doctorat (après la licence) donnent eux aussi le droit d’enseigner.
Paris est le centre intellectuel de l’Occident
Au niveau du nombre d’étudiants, c’est toujours compliqué à évaluer. D’après les bruits qui courent, il y en aurait entre 3.000 et 4.000, pour une population parisienne de 200.000 habitants. Une chose est certaine, c’est qu’il y en a qui viennent de toute l’Europe. On y croise des Italiens, des Espagnols, des Anglais, des Polonais et même des Scandinaves. Avec Bologne, Paris est la capitale de la culture en Occident.
Cet emballement pour le savoir a deux raisons principales. D’abord, l'administration royale a besoin de main d’œuvre. Si au tournant du XIIe et du XIIIe siècle, Philippe Auguste a reconnu officiellement l’existence de l’université, ce n’est pas seulement pour faire un cadeau à la communauté savante. C’est aussi parce qu’il avait besoin de lettrés et de gens compétents pour bâtir son administration. Les Capétiens recrutaient abondamment parmi les gradués.
Et puis il y a aussi la libido sciendi, l’amour de la science, qui pousse les étudiants à s’instruire. Ainsi, les élèves viennent se mettre sous la tutelle de maîtres prestigieux. Abélard au siècle dernier ou encore Albert- Le-Grand en ce moment: ce sont de véritables stars.

Aller à l’université c’est être assuré d’un emploi à la sortie

Dans une société où l’on compte 80% d’illettrés chez les hommes, le simple fait d’étudier assure quasiment de trouver un emploi. Mais comme les études sont longues, elles sont réservées à une certaine catégorie de la population. Cependant, il arrive que de bons élèves repérés très tôt soient envoyés à l’université de Paris afin d’y poursuivre leurs formations. Robert de Sorbon, qui vient de créer le collège de la Sorbonne, était fils de paysan. Il est parvenu à devenir Chapelain et conseiller de St Louis. Comme quoi le système méritocratique peut marcher...
Bon à présent je dois filer à mon cours de luth. Vale condiscipule!»
Article réalisé suite à un entretien avec Antoine Destemberg, maître de conférences en histoire du Moyen Âge à l’université d’Artois. Il est l’auteur de «L’honneur des universitaires au Moyen Âge», publié chez Puf en 2015.

Reconciliation avec la nature (Pape Francois 1

L’église universelle joue un rôle plurifonctionnel dans la société. Elle est celle qui priorise la suprématie de la moral humaine. C’est-à-dire qu’elle fait du respect de la dignité de la personne humaine la base de toute discipline.

Elle intervient dans divers situation, tantôt économique, politique, social,  et environnemental. Le plus souvent ses interventions sont révélées officiellement à travers une encyclique qui l’œuvre d’un pape.

Depuis Léon XIII avec Reum Novarum en 1891, presque chaque successeur se donne pour  devoir d’observer la société et  questionne sur le mal social. Le pape François 1 lui-même fais partie  de ceux qui s’intéresse a la question de l’environnement et de l’écologie. Ainsi  il a écrit  l’encyclique intitulée « Laudate si ». De ce fait,  comme étant concerne du mal de l’environnement, nous allons  essayer de résumé la pensée de l’évêque à travers cette œuvre tout émettant des réflexions au moyen des clés de la doctrine sociale chrétienne sur le mal social Haïtienne, en incluant sa situation économique.

2.1  Présentation de l’auteur et de son œuvre (termes clés).
Jorge Mario Bergoglio est  né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine. Il est actuellement l’évêque de Rome et le pape de l’église catholique au titre de François 1. Il est le premier prêtre issu de la congrégation  des jésuites n’étant pas européen à être pape. Aussi, il est le premier pape provenant de l’Amérique. Son nom François est pour la première fois enregistré dans les annales pontificales. 

Il a choisi  ce nom en vue de son dévotion au saint François d’Assise et son choix de vivre une vie simple, paisible et dans le respect de tout ce que Dieu a créé. Ses œuvres peuvent être classées en deux parties.

L’une avant son pontificat et l’autre durant son pontificat. Pour  celles qui viennent  avant, elles sont extrêmement nombreuse, mais d’entre elles nous pouvons citer : Méditations pour les religieux (1982), Réflexions sur la vie apostolique(1987), Réflexions sur l’espérance(1992), Esprit ouvert, cœur croyant(2012). Durant son pontificat, il n’a pas beaucoup écrit mais nous retraçons certains ouvrages comme : L’encyclique « Lumen Fidei » (lumière de la foi)(2013) , Le nom de Dieu est miséricorde(2016) et l’encyclique « Laudate si »(2015) que nous allons vous résumer et  étudier afin non seulement  d’acquérir une nouvelle compréhension  de la relation écologique qui doit être entre les hommes et la nature mais aussi d’arriver à réfléchir  au moyen des clés  de la doctrine sociale sur le problème économique qu’affronte Haiti aujourd’hui .
Laudate si (Loué sois-tu mon Seigneur) est en soi une sorte de cantique a la création et une invitation à la conversion écologique. Il l’a sous-titré « Sur la Sauvegarde de la Maison Commune ». Par cette sous intitulation, le pape nous invite à une prise de conscience de l’importance de  l’endroit où nous vivons.

Ainsi partage-t-il : « notre maison commune est aussi comme une sœur, avec laquelle nous partageons l’existence, et comme une mère, belle, qui nous accueille à bras ouverts (#1). Cette sœur crie en raison des dégâts que nous lui causons par l’utilisation irresponsable et par l’abus des biens que Dieu a déposés en elle a cause que nous avons grandi en pensant que nous étions ses propriétaires et ses dominateurs, autorisés à l’exploiter » (#2) Etant conscient de la situation précaire de l’environnement, il invite à débattre le problème partout dans le monde.

Il présente ensuite, ses prédécesseurs, qui ont intervenu dans les problèmes de la société mondiale au biais des encycliques. De ce fait, il s’inspire  de leurs travaux et expose le problème écologique de la société mondial d’aujourd’hui. Cherchant à soutenir la véracité de la nécessité du sentiment d’appartenance des hommes envers la nature, il nous présente St François D’assise comme étant un modèle. Il rajoute : « C’est l’exemple par excellence de la protection de ce qui est faible et d’une écologie intégrale, vécue avec joie et authenticité, ce qui initie clairement l’un des thèmes fondamentaux de l’encyclique : la relation entre la justice sociale et la sauvegarde de l’environnement ».

Pour ainsi dire qu’en lui (saint François), on voit jusqu’à quel point sont inséparables la préoccupation pour la nature, la justice envers les pauvres, l’engagement pour la société et la paix intérieure (#10). C’est ainsi qu’il formule son appel au secours a la planète terre et a tous ceux qui y habitent. Il souligne que C’est un  défi urgent de sauvegarder notre maison commune et il inclut la préoccupation d’unir toute la famille humaine dans la recherche d’un développement durable et intégral  (#13). Pour cela, il nous propose d’effectuer un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète.


2.2  Résumé succincte des Chapitres


I. Chapitre 1 : «  Au sein de notre maison commune ».
Le pape consacre le premier chapitre à l’observation de l’évolution humaine et la lecture des signes du temps. Toujours aussi croyant dans le dialogue humanitaire et la diversité des opinions sur la question de la protection de l’environnement, il propose que cela doive revenir en premier lieu au experts et spécialiste du domaine et en second lieu à tout homme ayant partielle connaissance le dessus. Dans ce même chapitre, il partage six points qui ne doivent pas être niés ; Le premier concerne, la pollution et le changement climatique dans le monde (n°20-26).

Il pense que cela est dû à l’usage irresponsabilité des hommes dans l’utilisation des ressources naturelles et l’usage abusif de la technologie. Le deuxième est ce qui a trait à l’eau (n°27-31). Il dit que l’accès à l’eau potable est un droit fondamental à tout homme. Le troisième, est la disparition de la biodiversité (n°32-42). C’est-à-dire la perte des espèces d’animaux et de végétaux.  Et il accuse pour seul coupable «  l’homme ». Rajoute –t-il, Cette élimination des espèces va causer non seulement un vide dans l’écosystème mais aussi une perte de valeur que ces espèces on elles même. Le quatrième, s’intéresse à la détérioration de la qualité de la vie humaine et de la dégradation sociale (n°43-47). 

Le cinquième  est celui de l’inégalité planétaire (n°48-52). Il stipule clairement que  la détérioration de l’environnement et celle de la société affectent d’une manière spéciale les plus faibles de la planète.


Toutefois, il faut rappeler que le premier chapitre souligne la statiste de l’humanité face à ces problèmes. Il n’y pas des réactions majeures pour tenter de résoudre en partie cela puisque a bien parler elle ne dérange pas les plus fortunés. A cela l’encyclique avertit qu’aujourd’hui les pauvres sont peut être les plus expose mais il arrivera un jour ou tout le monde sera pris au piège de l’environnement.

II. Chapitre : « L’évangile de la création selon la visée de Saint François D’Assise»


Dans ce chapitre l’évêque présente  une mise en place d’un plan d’action ayant pour fondement la foi et la raison. Ainsi, Pour commencer, il réclame que les la religion rentre en contact avec la philosophie ou encore la science. Dit-il : « « Si nous cherchons vraiment à construire une écologie qui nous permette de restaurer tout ce que nous avons détruit, alors aucune branche des sciences et aucune forme de sagesse ne peut être laissée de côté, la sagesse religieuse non plus, avec son langage propre. De plus, l’Église catholique est ouverte au dialogue avec la pensée philosophique, et cela lui permet de produire diverses synthèses entre foi et raison. » (n°63) Ensuite, il nous envoie à la réminiscence que l’homme est un élément dans le projet de Dieu.

C’est-à-dire que Dieu a un plan pour chacun de nous ici, riche ou pauvre, grand ou petit. C’est pourquoi selon lui chacun de nous est relie avec de Dieu car nous sommes ses créatures. Cependant, il nous dit  qu’être en relation avec Dieu implique être en relation avec  les autres êtres et soi-même. Delà, l’évêque insinue que trop souvent nous nous croyons au-dessus de toute chose voire même être égaux à notre créateur.

De ce fait, il veut nous rappeler que le plan de Dieu pour sa création entière est l’unification entre les espèces pour que la paix règne. Aussi, il nous rappelle que notre devoir principal c’est d’agir comme étant des  gestionnaires responsable et que par notre travail harmonieux nous arrivons à achever la création.


Il se donne pour référence le message biblique à travers la genèse pour nous dire que « tout est lie ». En évoquant cela, il veut nous rapprocher de la réflexion Franciscaine qui dit tout homme est une histoire sacre l’homme est fait à l’image de Dieu. Mais il va plus loin que « l’homme », il parle d’être. Ceci dit nous sommes tous des créatures de Dieu et nous avons chacune de nous une importance capital aux yeux de notre créateur. Et il nous a mis sur le même planète c’est parce qu’il sait qu’en réalité l’un ne peut vivre sans l’autre.

Pour ainsi dire nous tous inter-relié. Cela dit, nous commencer par voir les autres comme étant un être vivant tel que nous, nous devons commencer par chercher l’importance de la présence de l’autre a nos côtés et la valorise. Disant tout cela c’est pour faire référence a la nature. A ce terme, il nous invite à ne plus voir la nature comme une source ou l’homme doit exploiter et expérimenter son intelligence mais de la voir  notre demeure commun et dans lequel nous sommes tous destines à passer le voyage. Donc, la nature et son composant aurait une importance particulier aux yeux du créateur. Pour ainsi dire, tous ce qui a été créé a une raison d’être et Dieu exprime son amour en chacun d’eux.

A la fin du résumé de ce chapitre, remarquons que le Pape François se dirige vers une idéologie purement Franciscaine pour parler de l’amour de Dieu pour sa création et le but de chaque être d’y être. Cependant, il avertit comme le pape Jean Paul II que la nature a un effet hypothécaire en elle. C’est-à-dire nous devons payer pour nos actes et que tous ce que nous possédons existe et ils sont dans la nature alors ce sera à elle d’en juger la valeur de ta dette envers elle et de prendre ce qui est due.


Chapitre III : « La racine Humaine de la crise écologique »
Ce chapitre est une réservation de méditation sur les causes des problèmes écologiques par l’humanité elle-même. De ce fait, sans défier le paradigme technocratique du monde actuel. Mais il tout de même a introspectif en nous-même et de regarder notre compréhension des causes de la crise écologique et de considérer quels changements nous devons faire pour que tous puissent partager les avantages de la technologie. Il suggère des pour-parler sur la question et propose des points d’axes de réflexion.

En premier lieu, il se montre gracieux envers ceux qui ont participé dans le developpement des conditions de la vie humaine par la voie de
la science. Mais il reproche à la science d’être un élément de déroutage. Pour ainsi dire, trop souvent nous utiliser l’instrument scientifique à nos propres fins destructrices, il cite (la bombe nucléaire, la bombe biologique  et tant d’autres inventions, qui tuent des milliers de gens et qui sont à la base de la disparition de plusieurs espèces). Alors, il sollicite que les progrès technologique doivent être accompagné d’une responsabilité humaine. La situation exige une éthique solide, une culture et une spiritualité capables de fixer les limites et d’enseigner une abnégation lucide (n°102-105). Le second point  s’agit de l’analyse de la globalisation du paradigme technocratique. 

Les produits technologiques ne sont pas neutres, mais créent un cadre qui conditionne le mode de vie et façonne des possibilités sociales dictées par certains groupes de pouvoir qui dominent la vie économique et politique. Cette approche fait la promotion de la notion de croissance infinie ou illimitée. Ceci suppose le mensonge d’une disponibilité infinie des biens de la terre. Les problèmes de la faim et de la pauvreté ne peuvent être résolus simplement par la croissance du marché. La surconsommation offre un contraste inacceptable par rapport à la misère déshumanisante. 

A partir de là, le Pape François note que les racines les plus profondes de nos dérèglements actuels sont en relation avec l’orientation, les fins, le sens et le contexte social de la croissance technologique et économique. Nous devons prendre conscience que notre course pour accumuler constamment des nouveautés peut conduire à une vie superficielle. Le troisième est la crise et les effets de l’anthropocentrisme moderne. Dieu nous a donné la terre, et nous devons en faire un bon usage dans le respect de son intention primitive, bonne. 

Nous ne sommes pas appelés à avoir une maîtrise sur le monde, mais à une gestion responsable. Nous sommes également un don de Dieu les uns pour les autres. Lorsque nous ne parvenons pas à reconnaître, dans la réalité même, la valeur d’un pauvre, d’un embryon humain, d’une personne handicapée, il est difficile d’entendre le cri de la nature elle-même. Nous ne pouvons pas sous-estimer l’importance de notre relation avec l’environnement, avec les autres et avec Dieu. 

Le Pape François appelle à une nouvelle synthèse capable de surmonter les fausses dialectiques des siècles passés (n°115-121). Il déclare: « Il n’y aura pas de nouvelle relation avec la nature sans un être humain nouveau. Il n’y a pas d’écologie sans anthropologie adéquate. » (n°118) ; afin de se sentir responsable du monde, les hommes doivent d’abord comprendre vraiment qui ils sont.


Chapitre IV : « Une écologie intégrale »
Ce chapitre est extrêmement important parce que le Pape François définit l’ECOLOGIE INTEGRALE, en commençant par l’affirmation qu’il s’agit d’une écologie « qui a clairement des dimensions humaines et sociales » (n°137). Il détaille ensuite les différents types d’écologie : environnementale, économique et sociale, culturelle, et enfin l’écologie de la vie quotidienne. Le chapitre se termine par un regard sur deux principes importants : le bien commun et la justice entre les générations. Regardons chacun de ces types plus en détail !


L’écologie environnementale, économique et sociale. Pour réfléchir sur ces trois dimensions de l’écologie, le Pape François insiste sur la dimension de l’interdépendance entre toutes choses, et sur les « conditions de vie et de survie d’une société, pour remettre en question les modèles de développement, de production et de consommation. » (n°138).

Il appelle à une APPROCHE INTÉGRALE de cette crise complexe: « Il n’y a pas deux crises séparées, l’une environnementale et l’autre sociale, mais une seule et complexe crise socio-environnementale. Les possibilités de solution requièrent une approche intégrale pour combattre la pauvreté, pour rendre la dignité aux exclus et simultanément pour préserver la nature. » (n°139). On doit accorder aux chercheurs une grande liberté académique afin qu’ils puissent mieux comprendre les interactions du système et trouver des moyens pour surmonter la crise (n°140). 

Le concept de croissance économique offre une compréhension limitée des questions et suggère la nécessité d’une « écologie économique » capable de faire appel à une vision plus large de la réalité, à un humanisme capable de rassembler les différents domaines de la connaissance - y compris l’économie - au service d’une vision plus intégrale et plus intégrante (n°141). Si tout est lié, l’état des institutions d’une société a aussi des conséquences sur l’environnement et sur la qualité de vie humaine. 

Les institutions faibles auront des conséquences négatives (n°142).L’écologie culturelle. Le pape souligne qu’« avec le patrimoine naturel, un patrimoine historique, artistique et culturel [est] également menacé. » (n°143). Cette menace exige une plus grande attention aux cultures locales. Une vision consumériste des êtres humains conduit au nivellement des cultures. Il tente de résoudre tous les problèmes par des règlementations uniformes ou des interventions techniques, et peut conduire à négliger la complexité des problématiques locales qui exigent la participation active de tous les membres de la communauté (n°144). 

Dans le contexte de la culture, le Pape exprime le besoin d’une attention particulière aux communautés aborigènes et à leurs traditions culturelles, notant qu’elles ne sont pas simplement une minorité parmi d’autres, mais qu’elles devraient être les principaux interlocuteurs du dialogue, en particulier lorsque de grands projets touchant leurs terres sont proposés. Cependant, en diverses parties du monde, elles font l’objet de pression pour abandonner leurs terres et pour faire place à des projets agricoles et miniers (n°146).L’écologie de la vie quotidienne.

Dans cette section, le Pape traite de la question de la QUALITÉ DE VIE qui touche tout le monde. Il salue ceux qui, avec générosité et créativité, répondent aux contraintes environnementales de leur environnement, mais note que l’extrême pauvreté peut conduire à des défis immenses en ce qui concerne la qualité de vie. Il mentionne les problèmes causés par le manque de logements, par la criminalité et par la surpopulation dans les mégapoles (n°148-149, 152). 

Mais il mentionne aussi une série de transformations de la vie urbaine qui pourraient faire partie de la nouvelle vision de notre maison commune (n°147-153). Le principe du bien commun. Le pape insiste sur le bien commun comme principe central et unificateur de l’éthique sociale fondée sur le respect de la personne humaine comme telle (n°156-157). Il appelle la société dans son ensemble, et les Etats en particulier, à défendre et à promouvoir le bien commun, qui exprime de manière particulière, la solidarité et l’option préférentielle pour les plus pauvres de nos frères et sœurs (n°157-158).

Chapitre V : « Lignes d’orientation et d’action pour le dialogue »
Dans le chapitre 5, après avoir présenté un aperçu de la réalité de la planète et des causes plus profondément humaines de la dégradation de l’environnement, le Pape François expose les grandes lignes que nous devrions suivre pour « nous aider à sortir de la spirale d’autodestruction dans laquelle nous nous enfonçons. » (n°163). Son approche repose sur une série de dialogues qui doivent être organisés : l’environnement dans la politique internationale ; de nouvelles politiques nationales et locales ; la transparence dans la prise de décision ; dialogue entre politique et économie pour la plénitude humaine ; entre les religions et les sciences. 

Le pape traite chacun de ces dialogues plus en détail, en soulevant les questions suivantes : Le dialogue sur l’environnement dans la communauté internationale. On a eu de plus en plus tendance à concevoir notre planète comme une patrie et l’humanité comme un peuple habitant dans une maison commune (n°164), ce qui doit nous conduire à concevoir un projet commun pour le monde et pour l’humanité. Malgré certains progrès, il manque toujours cette conscience globale de la gravité de la situation (n°165-170). Le Pape parle de la nécessité de « responsabilités communes mais différenciées » et de changements radicaux exigés par les circonstances actuelles (n°170).

Il appelle à des accords internationaux qui soient respectés. Les normes réglementaires mondiales sont nécessaires pour imposer des obligations et prévenir les actions inacceptables ; il doit y avoir un accord sur les systèmes de gouvernance pour l’ensemble de ce qu’on appelle les « biens communs globaux » (n°173-174).Le dialogue en vue de nouvelles politiques nationales et locales. Il ne suffit pas de se concentrer sur les questions internationales, mais il faut aussi identifier les gagnants et les perdants aux niveaux national et local (n°176). 

Les Gouvernements ne devraient pas d’abord rechercher les résultats immédiats - soutenus par les populations consuméristes – qui conduisent à une croissance à court terme (n°178), mais plutôt les objectifs à long terme qui garantissent le bien commun. Ils devraient adopter des lois qui favorisent le respect de l’environnement et les intérêts des petits producteurs, et qui préservent les écosystèmes locaux (n°179-181). Cependant, le Pape est très réaliste sur l’opportunité de ces objectifs à long terme, et note qu’« il faut que la décision politique soit incitée par la pression de la population » (n ° 179).Dialogue et transparence dans le processus de prise de décisions. 


Dans cette section, le Pape traite du problème de la corruption, qui peut être réglé efficacement par des processus politiques transparents et soumis au dialogue (n°182). Chaque étude d’impact sur l’environnement doit être effectuée de manière interdisciplinaire, transparente et indépendante de toute pression économique ou politique (n°183). Le pape appelle à un dialogue entre toutes les parties intéressées, en particulier la population locale, et propose une série de questions qui doivent être soulevées afin de garantir le développement intégral (n°183-185). Il souligne également la nécessité d’utiliser le principe de précaution (n°186-187). 

Le Pape fait remarquer que, dans le cas où on aurait des preuves solides que des dommages irréversibles résultent d’une activité, le « projet devra être arrêté ou modifié. Ainsi, on inverse la charge de la preuve, puisque dans ce cas il faut apporter une démonstration objective et indiscutable que l’activité proposée ne va pas générer de graves dommages à l’environnement ou à ceux qui y habitent. » (n°186).

Chapitre VI : « Education et spiritualité écologiques »
La phrase d’ouverture du chapitre 6 précise clairement la problématique dans le style propre au Pape François : « Beaucoup de choses doivent être réorientées, mais avant tout l’humanité a besoin de changer. » (n°202). Il commence ensuite à dresser un plan. La première section (n°203-208) nous indique un nouveau mode de vie qui encourage les individus et les groupes à rejeter le consumérisme, rappelant à tous qu’« acheter est non seulement un acte économique mais toujours aussi un acte moral » (n°206).

 Il attire ensuite l’attention sur la Charte de la Terre, exprimant le  vœux que « notre époque soit reconnue dans l’histoire comme celle de l’éveil d’une nouvelle forme d’hommage à la vie, d’une ferme résolution d’atteindre la durabilité, de l’accélération de la lutte pour la justice et la paix et de l’heureuse célébration de la vie » (n°207).La deuxième section (n°209-215) appelle chacun à une éducation qui concilie l’humanité et l’environnement. Le Pape déclare : « La conscience de la gravité de la crise culturelle et écologique doit se traduire par de nouvelles habitudes » (n°209). 

Il note que l’éducation environnementale a élargi ses objectifs, en incluant une critique des « mythes » de la modernité et en se concentrant sur l’établissement de l’harmonie en nous-mêmes, avec les autres, avec la nature et les autres êtres vivants, et avec Dieu. Le pape appelle à une « éthique écologique » (n°210).En parlant de la conversion écologique, le pape suggère la nécessité d’une spiritualité écologique, basée sur notre foi et sur les conséquences de l’Evangile qui favorise une passion pour préserver le monde (n°216). 

Il fait appel, une fois de plus, à la figure de saint François d’Assise, il souligne qu’une relation saine avec la création exige la conversion intégrale de la personne (n°218), une conversion qui implique la reconnaissance et la gratuité, une prise de conscience aimante de notre communion universelle, et la certitude que chaque créature reflète quelque chose de Dieu. Il insiste, cependant, sur le fait que les efforts individuels à eux seuls, ne seront pas capables de remédier à la situation complexe de notre monde : nous avons aussi besoin de réseaux communautaires efficaces (n°219)

III. Conclusion
la fin de cette encyclique nous pousse à reconnaitre la grandeur et la beauté infinie de Dieu grâce à sa création. Nous devons nous rappeler que tout ce qui a de bon et de beaux au sein de notre maison commune, nous devons apprendre à la conserver, a la préserver car c’est la volonté de Dieu et en respectant la volonté Divine, nous serons sur de nous octroyer notre place dans, le paradis, obtenir la vie éternelle. Peu importe nos comportements, nos désirs et même nos erreurs, Dieu nous donne toujours la chance de nos repentir, et il est encore temps, de nous ressaisir afin de sauver notre maison commune, notre trésor divin qu’est notre NATURE.

IV. Réflexion personnelle sur les réalités haïtiennes à partir de cette encyclique
L’encyclique « Laudate si » s’impose comme un document qui devrait avoir une très grande valeur aux yeux de tous les peuples de la terre et surtout aux yeux de tous ceux qui dirigent ou qui désirent le faire un jour ou l’autre.  A l’heure où le phénomène dénommé « mondialisation » s’impose dans presque tous les coins de la terre avec tout ce qu’il comporte sur le plan politique, économique, culturel, religieux, social et surtout environnement. On est à l’heure des nouvelles technologies de l’information et de la communication, à l’heure du capitalisme, à l’heure où les riches deviennent de plus en plus riches, à l’heure où les pauvres s’appauvrissent d’avantage…

Le Pape François dépeint et critique à travers ses propos, cette réalité amère et consternante, surtout en ce qui concerne l’écologie de la planète. Les problèmes posés par le Pape, concerne d’une manière ou d’une autre tous les pays de la planète. Haïti n’est alors pas exempt ! Et depuis ces dernières décennies, ces sujets n’ont cessé pas faire objet de grands débats politiques, sociaux et environnementaux. Comment aborder les réalités haïtiennes, à la lumière de  « Laudate si » ?  Pour apporter quelques éléments à cette question, nous allons considérer deux plans principaux : l’environnement et le social. Mais, pour couronner le tout nous toucherons en dernier lieu dans cette partie du devoir, les aspects économique et religieux qui sont probants dans ce que l’on pourrait appeler le « mal haïtien », toujours par rapport à la dite encyclique.

  4.1 Sur le plan environnemental

Dans le premier chapitre de l’encyclique, le Pape énonce les meilleures données scientifiques relatives à la situation environnementale du monde en général. Il juge que ces données peuvent servir d’outil pour écouter le cri de la création. Quatre principaux problèmes sont touchés : les mutations climatiques, la question de l’eau, la perte de la biodiversité, et la dette écologique. Ceux-ci se font sentir dans les pays du monde. 

Néanmoins, dans une mesure variable, chaque pays participe d’une façon ou d’une autre à l’élargissement de la plaie environnementale qui n’est que la résultante de tous ces problèmes que le Pape a souligné dans le début de son encyclique. Sur le plan environnemental, en Haïti, le constat est amer, et ceci depuis un certain temps la situation ne fait que s’aggraver. La couverture végétale du pays est à moins de 2 %. Nos montagnes sont déboisées. A cause de l’aggravation de la situation économique, les gens continuent de couper les arbres en vue de faire du charbon de bois afin de gagner un peu d’argent. Leur interdire de couper les arbres, n’est-ce pas comme leur interdire de vivre ?

Presque partout à travers le pays, surtout dans les grandes villes, la question de fatras dans les rues n’a toujours pas été abordée avec efficacité. La capitale pue à cause des détritus que les gens produisent et qu’ils gèrent très mal. La majorité des gens prennent comme prétexte le fait que l’on n’ait pas mis assez de poubelles dans les rues et que le peu disponible. Certaines personnes le font également par simple habitude, sans penser aux conséquences autant néfastes qu’une mauvaise gestion des déchets peut avoir sur leur santé et même sur leur vie. Aux Gonaïves, l’une des causes des inondations de 2004 et 2008 est le fait que les canaux d’irrigation ont été obstrués par des fatras que les gens y avaient jetés.

Les dégâts causés par le séisme du 12 Janvier 2010 prouvent également combien nous avons une écologie malade, outragée. Le Pape a souligné dans le chapitre 3 (qui traite de la racine humaine de la crise écologique)  de l’encyclique le fait que les actes de l’homme visant à améliorer les conditions de son existence à n’importe quel prix peuvent aussi être considérés comme l’une des bases de la crise écologique haïtienne. Les gens qui vivent dans les conditions précaires ont tendance à venir s’installer dans les grandes villes, plus principalement dans la capitale en vue de trouver une vie meilleure. D’où la construction de bidonvilles, et la prolifération de personnes dans les rues, d’où, en guise de conséquence immédiate, crise écologique, fatras, habitats précaires, mauvaises conditions…


La crise écologique Haïtienne est aussi la résultante du niveau de production agricole presqu’insignifiant que connaît le pays depuis ces dernières décennies. Il y a également la question de l’eau qui fait partie de cette crise écologique. Beaucoup moins de personnes ont accès à de l’eau potable. C’est devenu de préférence un objet de commerce. Ce qui est contraire à ce que le Pape pense dans Laudato si, « l’accès à l’eau potable et sûre est un droit humain primordial, fondamental et universel, parce qu’il détermine la survie des personnes, et par conséquent il est une condition pour l’exercice des autres droits humains ». Priver les pauvres de l’accès à l’eau, « c’est leur nier le droit à la vie, enraciné dans leur dignité inaliénable ». Nous sommes vulnérables sur le plan sanitaire. La dignité de milliers d’haïtiens est bafouée, surtout dans les bidonvilles,  et dans les campagnes.


 A travers l’encyclique, le Pape François ne cesse de répéter qu’il existe un lien étroit entre les questions environnementales et les questions sociales ou humaines. Ce lien ne peut pas être rompu.   Ainsi, « l’analyse des problèmes environnementaux est inséparable de l’analyse des contextes humains, familiaux, de travail, urbains, et de la relation de chaque personne avec elle-même », ou « il n’y a pas deux crises séparées, l’une environnementale et l’autre sociale, mais une seule et complexe crise socio-environnementale ». Ceci étant dit, voyons à présent la situation d’Haïti, à la lumière de Laudato si, sur le plan social.


4.2. Sur le plan social
En effet, la réalité sociale haïtienne est intimement liée à la crise écologique. Depuis des décennies, on assiste à l’effritement de nos valeurs. Ces dernières autrefois étaient favorables à la sauvegarde de l’environnement. Par exemple, autrefois, les gens avaient l’habitude de nettoyer l’intérieur de leur maison, ainsi que l’extérieur, c’est-à-dire, tout l’espace devant la barrière de la maison. Chaque personne faisait pareil. Et ça permettait que nos rues restent propres. En Haïti, partout dans le monde, la première préoccupation des gens reste et demeure, l’argent. Ils veulent de prime abord, répondre à leurs besoins économiques. Mais, au final, le bien être de la société, le bien être du collectif, se trouve mis à l’écart, car, à cause de la pauvreté, les gens peuvent faire n’importe quoi pour répondre dans la mesure du possible à leurs besoins.

Dans nos écoles, dans les médias, on devrait donner beaucoup  plus d’importance à la crise écologique haïtienne. On devrait penser à former la population chaque sur les conséquences d’une mauvaise gestion des déchets, sur les effets néfastes du déboisement, sur comment faire une meilleure gestion de déchets…. L’environnement est le cadre écologique de l’existence de la société. C’est l’endroit qui permet à la société d’exister. Les problèmes sociaux auxquels nous faisons face, ne devraient pas affecter autant l’environnement du pays, si les habitants, si les dirigeants, avaient fait de cela l’une de leurs priorités premières.


La perspective de l’écologie intégrale, prônée par le Pape François dans cette encyclique,  met également en jeu une écologie des institutions : « Si tout est lié, l’état des institutions d’une société a aussi des conséquences sur l’environnement et sur la qualité de vie humaine : Toute atteinte à la solidarité et à l’amitié civique provoque des dommages à l’environnement ». 

Dans un pays où les institutions sont faibles, corrompues, où on peut plus parler de civisme (d’ailleurs on n’enseigne presque plus ça dans les écoles), n’est-il pas évident que la crise écologique n’interpelle pas beaucoup d’Haïtiens ? Par là, on voit également les inégalités sociales frappantes qui existent en Haïti. Les bourgeois se replient sur eux-mêmes, ils ne se mélangent pas avec les gens de la masse…Comme quoi ils ne seront pas frappés par les conséquences de la crise ! Comme quoi ils ne sont pas concernés par la crise écologique !


Enfin, pour parvenir à l’écologie intégrale, c’est-à-dire, une écologie qui incorpore la place spécifique de l’être humain dans ce monde et ses relations avec la réalité qui l’entoure, nous ne devons pas « concevoir la nature comme séparée de nous ou comme un simple cadre de notre vie ». Nous ne devons pas séparer l’écologie intégrale de la notion du « bien commun ». Chaque haïtien doit pouvoir considérer l’environnement du  comme une sœur qu’il faut protéger. C’est également un héritage pour les générations futures. Agir autrement est par conséquent entraver la vie de ceux qui naissent maintenant et qui seront encore plus frappés par les conséquences de nos actes d’aujourd’hui. Malgré la complexité du problème, qui est également liée à la situation économique précaire du pays, les conseils prodigués par le Souverain Pontife peuvent se révéler efficaces. Mais pour cela il faut que nos institutions soient renforcées, qu’elles font toutes de cela l’une de leurs premières priorités, que chaque citoyen prenne sa responsabilité, afin de diminuer au fur et à mesure la dégradation de l’environnement du pays pour peu à peu l’éliminer.
V. Réflexion sur le problème économique de notre pays à partir des clés de la doctrine sociale Chrétienne.
 5.1  Le Problème de la pauvreté de l’économie Haïtienne (Situation).

En Haiti la vie n’est plus pareille depuis ces trente dernières années. L’économie connait une croissance décroissante, les terres sont abandonnées dans les provinces. Tous les braves jeunes rentrent à Port-au-Prince pour l’étude ou d’autres activités mesquines, les plus âgés s’intéressent à venir travailler dans les industries pour un salaire irraisonnable. Dans les bureaux d’état c’est du gaspillage et de la corruption. Il n’existe pas vraiment une gestion des ressources minimales du pays. 

Les dirigeants pilles les caisses pour occuper leur famille et nie leur engagement envers le peuple. Nos entrepreneurs préfère d’investir à l’étranger qu’en Haiti car le taux d’intérêt est très haut. Et cela est dû à la baisse des épargnes. Les gens n’épargnent plus parce qu’ils n’ont même pas de quoi manger pour une journée. Aujourd’hui nombreuse famille connaissent des jours sans  un plat. Le problème de l’économie occasionne la faim et la faim encourage la corruption et cette dernière la destruction, la violation de toutes règles.

Effectivement, prenons le cas des bureaux d’état ou les raques  sont devenu officiels. Personne n’ose dénoncer le gaspillage et si l’un ose le faire on l’acheté avec de l’argent ou on le tue. Le pouvoir judiciaire est devenu marchandable, les forces de l’ordre se vendent pour un simple billet de milles gourdes lors de l’application d’une amende ou d’une arrestation. Tous ce que nous avons aujourd’hui fait l’objet d’une importation.

 En d’autre terme, nous avons que du « pèpè ».  Nos élections le sont, nos dirigeants le sont, nos habits le sont, nos repas le sont, et si nous ne prenons pas conscience de cela, nous aurons aussi une culture de « pèpè ». Aujourd’hui, la monnaie n’a presque aucune valeur,  nos salaires sont en gourdes mais on achète en dollars. Definitivement sur le plan économique nous ne vivons plus. 

Et à ce qu’il parait, cela ne changera pas, nous continuons à enfoncer les dettes, notre nation est la plus pauvre mais en elle on retrouve beaucoup plus de déchets. Alors il est temps pour nous autres jeunes universitaire et jeunes animes de volonte patriotique de travailler pour changer cette situation mais avant tout il nous faudra identifier la cause de ce problème économique qui touche presque tous les secteurs.


5.2  Les Causes de la pauvreté.
La première richesse de toute nation est sa terre et ensuite vient l’education civique. C’est pourquoi une fois que le sol est abandonné, le pays ne va pas connaitre de grands succès car il a nié ce qui lui a été donné naturellement. Ensuite, toute nation pour assurer sa bonne marche doit susciter le sentiment d’appartenance chez les citoyens et ce sentiment ne dérive que par l’education civique. 

Dans ce cas, l’abandon de la terre et l’absence d’une education civique ne sont –ils pas les causes fondamentales de  la pauvreté en Haiti? Qu’avons-nous produit depuis ces trente dernières années ? S’est-on vraiment  engager dans l’education civique de nos enfants ? Quelles sont les instances qui encadrent vraiment les jeunes et leurs familles ?

Comme a dit le pape François 1er : « Entre l’homme et la nature il doit exister une relation pareille que celle entre le sang et le cœur ».  Nous ne produisons plus parce que nous ne prenons pas conscience que la terre est le bien commun à nous tous et tout developpement doit commencer par le travail. 

Nous gaspillons parce que nous non seulement nous ne nous rendons pas compte que le bien de la nation n’appartient pas un petit groupe mais a tout le monde mais aussi par perte de notre dignité comme humain et comme peuple. Ils sont peu les instances qui s’engagent à enseigner l’education civique qui comme la doctrine sociale  chrétienne, prône les principes du respect de la personne humaine, le sens du bien commun, l’importance de la subsidiarité entre l’état et les citoyens et aussi la force de la solidarité dans le bien. 

Si cultiver la terre devient une activité répugnante pour nos jeunes comment allons-nous nous nourrir finalement ? Nous aurons qu’à importer et c’est ce que nous faisons le plus aujourd’hui. Nous sommes obligés d’importer tous ce que l’on trouve voire des systèmes corrompus. Et aussi c’est ce qui fait que nous avons non seulement une dévalorisation au niveau vestimentaire et mais encore un desencouragement chez les artisans. Par exemple, de nos jours, combien de couturier nous reste-t-il, combien de cordonnier ? Ceux qui restent sont bien obliges de perfectionner nos « pèpè » importés.


En effet, une nation qui ne produit pas est morte. Elle l’est sur le plan institutionnel et sur le plan économique. Les haïtiens épargnent moins  parce qu’ils n’ont vraiment pas de quoi a épargner. Et vous pouvez comprendre qu’avec cette faiblesse il n’y aura pas d’investissement. Si l’on ne produit pas il n’y aura, pas assez ’argent. Or le peu qui existe nous le consacrons au gaspillage. 

Ce dernier est le résultat de la faiblesse au niveau de notre education civique. Combien de nos dirigeants prennent conscience que le bien de la nation est pour tous. Combien de tous respecte leur personnalité étant homme. Par exemple , nous avons assisté à des programmes d’assistances sociales sur le président  Martelly visent ils a aider les jeunes citoyens à sortir de leur situation par eux même en leur donnant le minimum comme l’affirme le principe de la subsidiarité ? C’est loin d’être le cas. 

Aussi combien de nos professionnels sont prêts  à travailler ensemble afin de réaliser quelques choses de bien ? Sommes-nous toujours pas prêts a tuer dans la solidarité que de révolter ensemble contre la néo-colonisation que nous subissons aujourd’hui ? Acceptons-nous de nous unir pour travailler la terre qui est notre force naturelle ?

En conclusion, il faut dire qu’il nous manque vraiment beaucoup mais si nous prenions conscience de ce qui manquait peut être que nous aurions la brillante idée du changement tant sollicite. Ainsi, penser cette nouvelle ère exige des orientations nouvelles, donc il serait impératif a nous autres comme étant jeunes universitaires de proposer certaine solutions.

5.3. Proposition de Solution pour relancer l’économie Haïtienne.
Le grand chef  d’état Haitien Henry Christophe disait que l’education et la production  sont  à la base ceux qui peuvent rendre une nation plus prospère que jamais. Ainsi les solutions que nous proposerions auront rapport à l’education civique et l’agriculture.

A. Procédé à l’education civique des jeunes et des nouvelles générations.

L’education civique est celle qui apprend au citoyen dès son bas âge à aimer avant tout son pays et ensuite à s’engager à le défendre ainsi qu’à le rendre prospère. Elle englobe des notions de moralité retrouvée à travers les principes de réflexion de la doctrine sociale chrétienne de l’église. Telles que, le respect de la dignité de la personne humaine, le bien commun, la solidarité dans le bien et la subsidiarité envers les plus faibles.

En effet parler de l’education civique comme solution au problèmes économique du pays c’est dire que l’on doit commencer par apprendre à nos enfants au sein des familles respective à aimer son pays, a donner à la foi une place dans son âme, à apprendre à  se respecter et a respecter toute personne ainsi ce que le bien de tous. 

Si la majorite de nos dirigeant aujourd’hui appliquait ses notions d’education civique, ils n’auraient pas bafoue les droits du peuples, à voler leur argent qui est un bien destinée au bien de la société. Ils n’engageraient dans la corruption. Cette formation doit commencer dans les familles puis dans nos écoles (on s’avère le faire à une époque et maintenant on ne le fait plus) puis dans nos petits groupes.

 La première société qui permet de prévoir l’avenir d’une nation c’est la famille. Donc, elle doit être bien encadre. Pour cela, les parents doivent s’engager a prendre soin de leurs enfants, les jeunes doivent commencer par éviter de mettre au monde des bébés qu’ils ne pourront pas en prendre soin. 

L’état doit  aider les parents à subvenir au besoin primitif et se donner pour devoir à s’assurer une bonne formation pour l’enfant. Ainsi, nos citoyens de demain seront plus honnête, plus digne du pouvoir donne par le peuple, seront plus nationaliste et auront conscience de l’importance de l’environnement dans le developpement. Et des lors on pourra penser au progrès au niveau d’autre domaine comme l’agriculture.

B. S’investir dans la production nationale.
La production nationale d’un pays est ce qui détermine sa richesse ou sa pauvreté. Celle de la nation haïtienne est d’une pauvreté extrême .Alors comme étant les leaders de l’avenir du pays que devons-nous faire ? que proposerions nous ?

Dans le cas d’HAITI la production la plus plausible est celle au niveau de l’agriculture comme on s’avait le faire avant. Il nous faudra penser première sur une nouvelle politique agraire, deuxièmement placer un système pour convaincre les gens à retourner dans les provinces pour travailler la terre dans de bonne conditions et modernes. Fais du travail du cultivateur plus important que ce qui est importé, Troisièmement, fais du travail du cultivateur une profession noble et finalement réduire sur la quantité gaspillée, sur la quantité importe, investir du capital dans le travail de la terre.

En effet, quand nous disons s’investir dans la production nationale nous parlons d’investissement humain et de capital. Comme étant homme nous devons commencer par nous investir dans  le developpement de notre pays. Nous devons commencer par penser pour le pays avant partir à l’étranger. Nous devons investir nos capitaux dans l’économie haïtienne non pas dans les banques étrangères. Ainsi selon nous notre pays pourra connaitre de nouveau jour au point de vue économique.

Finalement, nous dirions que le Pape a eu raison de parler de la sauvegarde de la mère nature dans cette encyclique. « Elle est notre demeure commune et c’est à nous de la protéger » disait François 1. Donc, il revient à nous  habitant de la terre à procéder à une conversion écologique. 

Cette réconciliation est la seule pouvant permettre à la terre de redevenir plus vivable. Aussi, elle doit se faire au niveau de chaque peuple, chaque nation y compris la nôtre. Et en ce qui a trait notre autres, nous dirions que notre developpement au point de vue économique dépend de nous-même et de la force de nos liens écologiques. Nous n’avons pas un problème d’haiti mais un problème d’haïtien alors il serait de notre devoir de promouvoir l’education civique et le sentiment d’appartenance à l’agriculture et la culture.



BIBLIOGRAPHIE.
·         Conseil pontifical Justice et Paix, Energie, justice et paix, Liberia Editrice Vatican, 153 p., 2014.
·         M. Kopp, O. Schäfer, C. Sixt-Gateuille, J. Varet, V. Wahl, Les changements climatiques, FPF et Ed. Olivétan, 46 p., 2014.
·         F. Euvé et S. Carcelle, Faire réussir la Création, Ed. Jésuites, 37 p., 2014.
·         Service de formation du diocèse de Nantes, Simplicité et justice. Paroles de chrétiens sur l’écologie, 2013. Revue, Pourquoi l’écologie humaine ? Juillet-Septembre 2013, 241 p..
·         Jean-Claude Lacaze, Le christianisme à l’ère écologique. « Tu aimeras ta planète comme toi-même. », Le Harmattan, 2013, 93 p.,
·         David FINES, Norman LEVESQUE, Les pages vertes de la Bible, Novalis, 2011
·         Falk VAN GAVER, L’Ecologie selon Jésus Christ, L’Homme nouveau, 2011.
·         Dominique BOURG, Philippe ROCH (dir), Crise écologique, crise des valeurs ? Défis pour l’anthropologie et la spiritualité, Labor et Fides, 2010.
·         Jean Marie PELT, Quelle écologie pour demain ?, L’Esprit du temps, 2010.
·         Hélène et Jean BASTAIRE, La terre de gloire et La Création pour quoi faire ? 2010.
·         Oeku Eglise et environnement, Paroisses vertes, Guide écologique à l’attention des Eglises, Ed. Labor et Fides, 141 p., 2010 Patrice de PLUNKETT, L’écologie de la Bible à nos jours, L’œuvre, 2008
·         Oliver LANDRON, Le catholicisme vert, Cerf. 2008.
·         CEF, Conseil pour les questions familiales et sociales, La Création au risque de l’environnement, Bayard-Cerf-Fleurus-Mame, 57 p., 2008.


SOURCES
·         ecologyandchurches.wordpress.com/des-livres/bibliographies/bibliographie-ecologie-et-foi-chretienne